Atelier Agora-Project : premier retour d'expérience

Comme prévu, jeudi soir a été organisé à Ploemeur un premier atelier dont l'objet était de faire découvrir les outils Agora-Project et Dolibarr, deux logiciels libres pouvant être utiles aux associations.

Après avoir pris, comme il se doit, un peu de retard (quart d'heure lorientais, difficultés de connexion au wifi ou à Agora...), l'atelier s'est déroulé à un bon rythme.

Malgré cela, et comme je l'avais pressenti en préparant l'atelier, il n'a pas été possible d'étudier dans des conditions correctes les deux applications en seulement 2 H.

Le plus important était pour moi de laisser chaque personne "bricoler" dans l'espace Agora "bac à sable", créé pour l'occasion.

Bref, une fois fait le tour des nombreux modules d'Agora-Project, il était déjà pas loin de 21 h 30. Il était temps d'arrêter !

À noter qu'avec 17 personnes sur le même wifi et une installation sur un petit hébergement OVH, ce n'était pas gagné, mais cela est resté relativement fluide. Bon point aussi pour Agora-Project, qui supporte donc très bien de nombreuses connexions simultanées.

photo de l'atelier

À souligner aussi une belle mixité avec 8 femmes sur les 17 participants, ce qui a été bonne surprise pour un atelier informatique.
Les choses changent, dirait-on, et c'est tant mieux !

Trois associations locales étaient principalement représentées : les marchands de panneaux de Bretagne Énergies Citoyennes, les faux-monnayeurs de Blé noir et enfin Asperansa, association cherchant à nous sensibiliser à la situation de certaines personnes quelque peu différentes. Bref, que du beau monde :-)

Là où Dolibarr peut être dans la pratique principalement utilisé par les trésoriers d'une association, Agora-Project doit au contraire être utilisé par l'ensemble des membres actifs pour avoir un intérêt.

L'idée étaient donc que les personnes présentes obtiennent une vision la plus large possible de ce qu'il est possible de faire ou non avec cet outil, pour ensuite déterminer ce qui peut leur être utile dans la vie de leur association.

Et manifestement la réaction des participant.e.s a été enthousiaste, ce qui laisse espérer que l'outil sera effectivement utilisé, même s'il va leur falloir maintenant réussir à transmettre leur enthousiasme aux absent.e.s, ce qui n'est pas toujours chose aisée.

En tout cas, quelques graines auront été semées, donc mission accomplie.

Et pour Dolibarr, s'il n'a pu être abordé, ce n'est que partie remise, un framadate venant d'être diffusé pour trouver le jour du prochain atelier.

Affaire à suivre donc...